Je rejoins les autres avis déjà donnés :
J’applique le principe du donnant-donnant. On me dit rien quand j’arrive tard, je dis rien quand je pars tard.
Notre travail se décompose généralement en multitude de tâches qu’on est à peu près libre de gérer. Si retard il y a, il suffit de se focaliser sur ce qui est urgent plutôt que d’alterner entre les trucs qui nous plaisent et ceux qui nous plaisent moins.
Cependant, je ne rechigne pas à bosser plus à fond quand c’est nécessaire mais je peux pas tenir une cadence infernale pendant une longue période, sinon c’est le mur autant pour la qualité du travail (et donc le projet) et pour moi-même (et donc mon entourage).
Personnellement, on m’a jamais demandé implicitement ou explicitement. j’estime qu’on est tous assez intelligent pour “sentir” quand cela est nécessaire. Si le RAF dépasse le temps restant, on sait bien que cela ne passera pas.
Après le problème c’est que plus on a de temps plus on en prend … c’est pour cela aussi que j’aime bien travailler en flux tendu. On est jamais vraiment en retard mais jamais vraiment dans les temps.
Enfin si cela devait être récurrent, je crois que je prendrai mes clics et mes clacs. Ou alors je prendrai pour défi d’améliorer les choses … Et dans ce dernier cas et si cela perdurerai, je prendrai cela pour un échec professionnel.