Nous avons tous j’en suis persuadé des avis tranchés sur ce que doit être un bon éditeur de texte / IDE. Sans trop me tromper je pense pouvoir affirmer que nous sommes tous d’accord sur le fait que la coloration syntaxique est un atout indispensable.
Les plus feignants utilisent le thème par défaut, tandis que d’autres passent un peu plus de temps à le customiser. La première étape évidente est celle de trancher entre fond clair et fond sombre. Mais ensuite ?
Monokai, aux nuances très vives est populaire chez les utilisateurs de Sublime Text http://chriskempson.github.io/base16/#monokai
Pour ma part, je suis un adepte de Solarized (dark) pour vim http://chriskempson.github.io/base16/#solarized
“Les gouts et les couleurs”. De nouveau chacun aura son avis sur la bonne palette, en terme de contraste etc…
Je poursuis mon exemple avec Solarized. Ce thème offre certes 16 couleurs, mais n’indique à aucun moment comment les utiliser. Et c’est là ou je veux en venir. Souvent, on laisse les clés à l’éditeur, c’est lui qui la responsabilité de mettre les strings en “vert”, les booleens en “rouge” etc…
C’est sur ce point où votre réflexion m’interesse.
Quelles familles de mots clés ressortent d’un langage? Par exemple if / then / else (les conditions) d’une couleur. for / do / while (les boucles) doivent-elles partager la meme couleur vu qu’il s’agit d’un controle de flow primaire ? Et try / catch / finally dans ce cas ? Dans le meme sac ? Faut il leur attribuer une couleur forte, ou une faible tant ces éléments sont communs ?
De même peut ton considérer que return et throw soient traités de la meme façon ?