Travailler uniquement sur ses acquis et ne jamais s’auto-former.
Choisir ce métier “parce qu’il faut bien gagner sa vie”, ce qui signifie un manque quasi total de motivation et donc peu de perspectives de progression.
Pour le coup, je ne suis pas d’accord :). C’est plutôt une bonne expérience pour un développeur. Sur le plan technique, sur un poste de CP, j’ai développé des outils pour agréger les KPI, pour générer des propositions commerciales. Hacker un jour, hacker toujours.
On peut prendre un poste de CP parce qu’on est bon développeur et que le contexte dans lequel on est ne permet pas de s’épanouir comme tel.
On devient mauvais développeur quand on ne se considère pas comme responsable du travail qu’on a produit. Quand on rejette l’origine de ses bugs sur le manager, le client, la pression.
Si je dois choisir qu’une pratique, ça serait ne pas savoir faire de test unitaire.
Restez vous-même, 99% des développeurs sont mauvais de toutes façons ;-)
Ne pas développer du tout !
Suivre un master informatique à la Fac.
En manquant d’humilité et en ne sachant pas travailler en équipe. :)
Troll ? La licence permet de voir les bases (implémentation des structures de données, les algo génétiques, …) puis le master d’être plus en phase avec les technos du marché comme JEE et son écosystème.
Coder sans penser produit.
Ne pas travailler en équipe. Ne pas accepter l’aide et les connaissances de tout le monde. De ne pas partager ces propres connaissances. De penser que nous sommes suffisamment intelligent pour tout faire tout seul.
Ne pas indenter son code :-P
Subir ses outils au lieu de les dompter ou les remplacer.
C’est rigolo de croire que le développement s’apprend à l’école :)
Il y a une chose simple et terriblement efficace qui permet de rapidement devenir un mauvais développeur : ne pas se soucier de l’utilisateur final (et je parle bien de l’utilisateur, pas forcément du client).
Partant de là il devient très simple de mal faire son job, de faire des choses inutiles, de ne pas faire ce qu’il faut, de ne pas avoir la qualité (aussi vaste puisse être ce terme) requise, etc.
Et ceci quelque soit la techno ou les pratiques. Contrairement à d’autres posts, je ne pense pas que ce soit les technos, la veille ou autre qui fasse un bon ou mauvais développeur. On peut développer de très bonnes applications ou services avec de vieilles technos, tout comme faire de la daube avec des nouvelles. Mais ne pas ce soucier de l’utilisateur est une constance assez forte chez beaucoup de mauvais développeurs.
Je suis d’accord avec ça mais il y a au moins une exception: le cas ou tu dois produire un rendu qui dépend d’un cahier des charges hyper strict qui a été mal conçu dès le départ (généralement sans avoir trop demandé leurs avis aux utilisateurs finaux).
@ethan et c’est là où le développeur se transforme en codeur
cf. Sondage: Etes-vous un développeur ? un codeur ? un programmeur ?