L’évidence, c’est “le Cloud, c’est la machine de quelqu’un d’autre” : tu dois penser sécurité, et rattraper les erreurs.
Contrairement à l’arrogance (c’est dans le Cloud, ça peut pas tomber), tu dois rester humble (ce n’est pas si mais quand ça va planter) et prévoir le coup.
Ça veut dire échouer gracieusement, remonter les erreurs, monitorer, distribuer, redonder… bref comme un SI normal, qui en plus n’est pas chez toi.
Pour éviter l’investissement de départ, tu abandonnes du contrôle : il faut donc que tes manips soient ultra simples, standard, atomiques, sans effet de bord, avec idempotence etc… bref comme du code propre normal.
Le Cloud, c’est de l’algo distribuée, le truc le plus dur que je connaisse. La bonne nouvelle, c’est que tu peux encore moins faire un monolithe puis oublier d’en gérer les contraintes et être surpris ensuite : tu dois y penser dès le début.