Oui voilà.
En fait, je dirais qu’une fois les principales plateformes évoquées (Malt, Linkedin), après on s’en fiche, c’est un peu comme si tu disais “Comment tu fais pour t’habiller ?”, H&M ou Kiabi ? Il n’y a pas de réponse meilleure qu’une autre, c’est une histoire de préférence.
Ce qui importe en revanche, c’est la méthodologie. L’idée c’est d’être “discoverable” par des personnes qui peuvent avoir besoin de tes compétences. Et il y a plein de manières de l’être.
Evidemment les personnes dans le réseau direct sont les plus enclines à penser à nous. Anciens clients notamment.
Puis les recommendations indirectes, les meetups, les rencontres impromptues.
Puis sur internet, plateformes dédiées, réseaux sociaux, mais on y est rapidement noyé par la masse.
Dans certains cas, cela vaut la peine de faire du démarchage, notamment lorsqu’on répond à un besoin très spécifique où le client n’a pas nécessairement conscientisé son besoin de prestataire avant d’être contacté. Mais bon, c’est beaucoup de boulot, pas très gratifiant et avec probablement un faible retour sur investissement.
J’ai eu l’occasion de refaire un point sur mes origines de missions dans le cadre de cette présentation à la Wild Code School Toulouse sur Comment se lancer en tant que freelance dev ? et j’ai constaté que 55% de mes missions provenaient de mon réseau.
Donc je terminerai en insistant sur le fait qu’il faut privilégier l’humain et le contact direct avant tout.